dimanche 26 novembre 2017

Un livre pour Mélik

                 Depuis quelques années mon ami le secrétaire de l'association des Amis d'Edgar Mélik, Olivier Arnaud,  travaille à l'étude de la peinture d'Edgar Mélik (1904-1976).
                 Le prestigieux éditeur d'art (depuis 1937!) SOMOGY aura le privilège de donner enfin à Mélik la monographie qu'il mérite. Un livre entre 200 et 300 pages, 150 reproductions couleur, grand format (24 x 28 cm),  couverture cartonnée, etc.  pour un prix de vente raisonnable en librairie (réseau Flammarion).
L'éditeur demande toutefois un apport financier qui couvrira les frais incompressibles. L'association des Amis du Musée Edgar Mélik a accepté de récolter les chèques de la souscription.
Il est indispensable d'être nombreux à se mobiliser pour que sorte ce livre d'art sur Mélik !
 
C'est ICI (blog Mélik) pour la souscription!!!

samedi 25 novembre 2017

Les Cahiers Max Jacob 17/18

              Ils viennent de paraître et sont consacrés au centenaire du Cornet à dès. J'y ai cosigné avec Patricia Sustrac un article sur l'exemplaire enluminé du Cornet à dès de la BNF. En fin de volume on y trouvera aussi un compte-rendu de l'excellente série les Aventuriers de l'Art moderne. En milieu de revue est reproduit le manuscrit autographe de Max Jacob relié par Paul Bonet dont voici deux pages superbes : 

Pour se procurer les Cahiers Max Jacob, c'est ici.

mardi 21 novembre 2017

Retour de Toulon


Table ronde avec Renaud Natiez, Bruno Suzanna et Myself. Merci à MH pour les photos. C'est bon de revenir au Païs!

vendredi 10 novembre 2017

Fête du livre du Var

Je serai à la Fête du Livre de Toulon sur le stand de Contrebandes pour dédicacer notamment les Panthères et Hergé, la Part du lecteur.
Dimanche à 10 h 30 table ronde autour d'Hergé avec les excellents Renaud Nattiez et Bruno Suzanna.

mardi 7 novembre 2017

Un article sur La Part du Lecteur

Un bel article de Harry Morgan dans son excellent site :

     "Jean-Marc Pontier s’interroge dans un essai stimulant et bien écrit sur ce qui « dans les aventures de Tintin peut justifier le rapport privilégié que Hergé a établi avec ses lecteurs ». Manifestant à la fois une grande érudition et une proximité qu’on pourrait qualifier d’affective avec l’œuvre, l’auteur n’en est pas moins capable de l’observer avec le recul qu’impose l’examen scientifique. Il propose notamment une analyse du « crabe aux pinces d’or » dans l’album éponyme, comme motif oxymorique et métonymique, qui nous semble plus satisfaisante que celles qui ont été proposées jusque là par les tintinophiles.
Comme dans nombre d’études hergéennes, nonobstant leurs mérites, notre auteur tient parfois pour des singularités remarquables des caractéristiques propres à toute œuvre émanant d’auteurs un tant soit peu talentueux. Cette tendance à autonomiser le grand dessinateur a le défaut fâcheux de désinsérer celui-ci de l’histoire de la bande dessinée, et des auteurs qui l’ont influencé. Le triomphe de Tintin à la fin de Tintin en Amérique est, comme l’écrit M. Pontier, repris dans Jo, Zette et Jocko, mais Hergé ne se cite pas lui-même, il cite deux fois Alain Saint-Ogan, planche finale de Zig et Puce à New York.
L’auteur a fait le choix intelligent d’un ouvrage bref et serré. Plus il avance dans son texte, plus l’auteur semble se laisser emporter par son sujet et découvrir de nouvelles pistes avec un enthousiasme communicatif."